Régime Alcalin : Principes Alimentaires

Le régime alcalin, nouvelle mode ?

Le régime alcalin est basé sur les principes de l’équilibre acido-basique. Il ne s’agit pas d’un nouveau régime à la mode mais d’un régime basé sur la compréhension du corps humain dans son ensemble. Ces connaissances sont apportées par les nombreuses études scientifiques les plus récentes et aussi par les nombreux retours d’expérience de soigneurs et de malades ayant su aller au-delà des symptômes et des pathologies.

Ce régime et plus particulièrement les recettes du site vous permettront :

    • De mieux manger avec une transition alimentaire douce
    • De stabiliser votre poids (à la baisse ou à la hausse selon vos réels besoins)
    • D’agir directement à la source de vos pathologies
    • De soutenir efficacement les traitements symptomatiques avec prises de médicaments
    • De prévenir une grande majorité des maladies chroniques (diabètes, rhumatismes, etc.)

Pour ceux qui veulent approfondir l’aspect scientifique, je vous propose les liens suivants :

  • NutritionsFacts.org: un médecin relate chaque jour les résultats des recherches les plus récentes en nutrition. Certaines vidéos sont traduites en français.
  • Lanutrition.fr : un journaliste relate chaque semaine les résultats d’études scientifiques de manière indépendante
  • Modern Nutrition in Health and Disease : il s’agit à ce jour du plus grand livre (à jour) sur la nutrition et les maladies. N’existe malheureusement qu’en anglais.
  • Revues médicales scientifiques : The Lancet, Nature, The European Journal of Nutrition, …

Les vidéos sur le régime alcalin

Pour ceux qui veulent éviter la lecture, je suggère cette vidéo de Fabien Moine :

Comprendre l’équilibre acido-basique

Pour faire simple, le corps est constitué de cellules, de liquides et de micro-organismes. Chaque cellule doit se nourrir et éliminer ses déchets par le biais des liquides corporels que sont le sang et la lymphe. On nomme ces deux éléments (sang et lymphe), le “Terrain” car c’est le témoin le plus fiable de notre état de santé. En effet, c’est sa composition en éléments nutritifs, inflammatoires ou toxiques qui nous permet de comprendre les causes de nos symptômes et de prévenir leur réapparition.

Ce terrain est donc le siège qui permet à toutes les cellules de fonctionner correctement. Si, pendant un temps donné certains nutriments sont absents, on parle de carence et si ce terrain ne permet plus d’évacuer les déchets, c’est la surcharge.

Carence ou surcharge équivaut à une acidification du terrain et amène à la manifestation de symptômes très variés souvent fonction de nos faiblesses passées. En effet, la carence implique un moins bon fonctionnement des cellules et une plus faible capacité du corps à neutraliser les acides (produits naturellement et ingérés). Quant à la surcharge, elle correspond à une concentration plus élevée en toxique (acide) et à une obstruction des voies d’élimination. Pour être en bonne santé, cette acidité doit être en permanence régulée et le pH sanguin doit se stabiliser autour de 7.40. Une simple baisse ou augmentation de 0.10 de cette valeur du pH enclenche des symptômes physiologiques car le pH joue un rôle important au niveau des cellules, des organes et des membranes comme le précise cette étude “The Alkaline Diet: Is There Evidence That an Alkaline pH Diet Benefits Health?“.

L’organisme régule le pH à travers deux principaux mécanismes :

      • Il puise directement dans nos réserves (os et tissus) les minéraux alcalins dont il a besoin.
        Lorsque ces réserves diminuent, les acides accentuent davantage la détérioration des tissus et amène à la déminéralisation.
      • Il élimine majoritairement les acides par le rejet du CO2 à travers la respiration tandis que le reste des acides est éliminé par les reins et l’épiderme (peau et muqueuses).

Tout cela implique qu’un bon équilibre acido-basique est caractérisé par :

      • une alimentation riche en micro-nutriments pour neutraliser les acides et assurer un fonctionnement optimal des cellules
      • un activité physique régulière pour faciliter l’élimination des déchets (au niveau cellulaire comme au niveau digestif)
      • du repos

Si vous souhaitez approfondir le côté scientifique de la régulation du pH, je vous propose de consulter la présentation pdf “Équilibre Acido-Basique” du professeur Levy de l’université de Grenoble. Cette présentation met en évidence le fait qu’un bon apport en oxygène (et donc l’activité physique) est capital pour réguler cet équilibre, au-delà même d’une bonne alimentation. Nous verrons plus tard les différentes techniques de respiration qui sont extrêmement efficaces.

Les causes et conséquences d’une acidification

Les causes du déséquilibre acido-basique sont multiples :

      • un apport élevé d’aliments acidifiants et/ou élevés en sucre (directement impliqués dans la formation des triglycérides)
      • un apport faible en micro-nutriments (carences vitamines, oligo-éléments, minéraux)
      • le surmenage et le stress
      • le manque de sommeil
      • le manque d’activités physique régulières

L’acidification entraîne une dégradation des tissus et des muqueuses qui sont rongés petit à petit. Cela suscite inflammation et porosité ce qui va naturellement amener à la prolifération d’organismes pathogènes (bactéries, champignons, perturbation de la flore. …). Les pathologies qui en découlent sont nombreuses, complexes, uniques et méritent qu’on s’y attarde pour identifier ce qui peut soulager, réduire ou guérir les douleurs et les souffrances (plantes, médicaments, compléments, thérapies, etc.). Quelle que soit la solution sélectionnée, c’est l’organisme lui-même qui procède à son auto réparation car celui-ci est sujet au principe de l’homéostasie, c’est-à-dire qu’il est sans cesse occupé à s’équilibrer. Les solutions jouent toutes ou presque un rôle de soutien. C’est notamment le cas du régime alcalin dont le suivi permet de disposer le corps dans les meilleures conditions possibles pour s’auto-équilibrer et bien souvent s’auto-régénérer.

Aliments acidifiants vs alcalinisants

Pour mesurer si un aliment est acidifiant ou alcalinisant, on utilise l’indice PRAL. Calculer cet indice revient à soustraire les minéraux acidifiants (chlore, soufre, phosphore,…) aux minéraux alcalinisants (potassium, magnésium, calcium,…) et à tenir compte aussi de la quantité de minéraux et de leur absorption au niveau des intestins.

Si PRAL < 0, l’aliment est alcalinisant
Si PRAL > 0, l’aliment est acidifiant

Liste des aliments acidifiants :

      • les produits laitiers
      • les produits animaux
      • les produits céréaliers
      • les produits sucrés
      • les produits transformés
      • les légumineuses

Liste des aliments basifiants :

      • les légumes
      • les fruits
      • les fruits oléagineux (olive, avocat, noix de coco, …)
      • les plantes aromatiques et certaines médicinales
      • les huiles d’olive, de colza, de coco

Toutefois, certains aliments peuvent faire exception et se trouver dans les deux cas :

      • Les agrumes (citron, pamplemousse, etc.).
        Leur indice PRAL est inférieur à 0 donc sur le papier, ils sont alcalinisants. Cependant, ils peuvent être acidifiants selon notre capacité à métaboliser ces aliments acides en bouche. Pour simplifier, si votre système nerveux est faible, que vous souffrez de frilosité, que vous avez les extrémités froides, il vaut mieux éviter ces aliments. Dans tous les cas, il vous faudra vérifier les réactions de votre corps après leur ingestion.
      • Les fruits (agrumes et autres)
        Les fruits amènent l’organisme à se détoxifier, remettant ainsi en circulation beaucoup d’acides. L’équilibre acido-basique peut être perturbé et selon notre capacité à éliminer ces acides, le terrain peut se charger plus ou moins rapidement de toxiques. Il faut donc augmenter très progressivement l’ajout de fruits dans ses préparations et aussi soutenir ses émonctoires ( intestin, poumons, reins, peau, foie) pour éliminer correctement les déchets.
      • Les graines oléagineuses (amandes, cajou, …)
        Elles sont acidifiantes (sauf peut-être pour les amandes) mais restent essentielles à un bon équilibre alimentaire en acides gras et en antioxydant. Leur consommation doit se limiter à une ou deux poignées par jour. De même que pour les légumineuses, n’oubliez pas de les faire tremper avant de les consommer pour enlever les anti-nutriments (12h pour les amandes, 4h pour les noix de cajou).
      • Les tomates
        C’est un aliment alcalin mais comme pour les agrumes, cela dépend de votre capacité métabolique. Surveillez vos réactions. Notez également que les tomates sont très riches en lycopène, substance qui prévient certain cancers.
      • Oeufs (jaune d’œuf vs blanc d’œuf)
        Certains disent que le jaune d’œuf serait alcalin mais d’autres sources indiquent qu’il est fortement acidifiant. Pour le blanc d’œuf, tout le monde s’accorde à dire qu’il est acidifiant. Si vous avez une source fiable, n’hésitez pas à me la communiquer.
      • Les sucres
        Neutres ou basiques (PRAL <= 0) mais ils sont pourtant considérés comme acidifiants. En effet, leur assimilation produit systématiquement des acides qui, grâce à l’oxygénation des tissus sont transformés et évacués sous forme d’eau et de CO2. D’où l’importance d’assurer une bonne oxygénation et d’aider les processus de transformation qui se font à partir des micro-nutriments. Évitez si possible les sucres blancs ou transformés qui ne contiennent aucun nutriment essentiel et qui sont d’IG élevé. Plus de détail sur quel sucre choisir pour cuisiner ici.
      • Le chocolat
        Le chocolat, s’il est noir et qu’il est composé d’au moins 70% de cacao, est un aliment peu acidifiant (PRAL entre 0 et 2) de par sa composition. Toutefois, il fait partie des aliments “anti-stress” efficace si sa consommation reste faible à modérée. Il peut donc nous aider à revenir à l’équilibre acido-basique dans la mesure où il nous permet de réduire stress et anxiété. Enfin, le cacao est un des aliments les plus riches en polyphénols aux propriétés antioxydantes et réputés pour réduire l’inflammation, prévenir le cancer colorectal, préserver la mémoire et la santé artérielle. Pour ceux qui veulent en réduire la teneur en sucre, vous pouvez opter pour des chocolats comprenant du maltitol ou du xylitol. Pour ceux qui n’apprécient pas l’effet stimulant du chocolat, vous pouvez tester la caroube très riche en minéraux. Pour ceux qui veulent éviter les additifs ou ne prendre que le meilleur du chocolat, le choix peut s’orienter vers le cacao cru.

A noter que la cuisson altère les nutriments (surtout les vitamines C, B1 et B9). De plus, lorsque vous faites brunir vos aliments (réaction de maillard), pensez que cela peut le rendre acidifiant. Préférez donc la cuisson vapeur douce ou inférieure à 100°C.

Le repas alcalin

Pour faire de bons choix alimentaires, il faut d’abord connaître ses besoins c’est-à-dire d’être à l’écoute de soi, de son corps, de ses sensations et de ses envies. Il est tout aussi important de comprendre l’environnement complexe dans lequel nous vivons et qui nous impacte jour après jour. Cette prise de conscience progressive permet d’affiner nos choix, nos objectifs et nos priorités. Il est important de rester ouvert aux changements et aux erreurs qui représentent une source importante d’apprentissage. Sachez enfin qu’un repas alcalin n’a rien de particulier, il repose seulement sur des principes et des stratégies alimentaires connues et reconnues pour faciliter la régénération du corps.

N’oubliez pas que le régime alcalin doit être vu de manière globale, il ne s’agit pas de faire une exclusion radicale des aliments acidifiants. Un aliment acidifiant peut très bien jouer un rôle alcalin s’il est micro-nutritionnellement dense, c’est-à-dire qu’il apporte une proportion élevée de minéraux. A l’inverse, un aliment alcalin peut très bien être acidifiant s’il contient un niveau élevé de pesticide, s’il a été transformé ou s’il est produit à grande échelle de manière industrielle sur des terrains pauvres en minéraux et vie souterraine.

Déterminer ses objectifs

Les stratégies à adopter pour régénérer vos tissus et rééquilibrer votre terrain vont dépendre entre autre chose de l’état de votre système nerveux car tous les processus de nettoyage et de reconstruction en dépendent. Si celui-ci est faible, le nettoyage et la régénération seront lents et vous devrez adopter une stratégie progressive au risque de dégrader davantage la situation.

D’abord, faites le bilan général de votre état de santé actuel. Vous pouvez pour cela consulter, faire une analyse de sang ou tester votre niveau d’acidité urinaire à l’aide de papiers pH mais vos ressentis seront probablement la meilleure base pour vous guider. Partant de là, fixez-vous un but, déduisez-en des sous-objectifs et travaillez sur les stratégies qui permettront d’y parvenir. Le fait de clarifier ce que l’on veut atteindre permet de traverser les moments de fatigues ou de stress, périodes dans lesquelles nous perdons l’enthousiasme et où nous retombons plus facilement dans d’anciennes habitudes.

Voici un exemple de scénario pour s’alcaliniser et qui peut s’appliquer à une personne qui n’a pas de pathologie particulière ou profonde :

      • Priorité 1 : augmenter la quantité de légumes (surtout vert) pour atteindre 50% de votre assiette. Vérifiez que le nombre d’aliments basifiants est supérieur aux nombres d’aliments acidifiants.
      • Priorité 2 : réduire les produits transformés, sucrés, laitiers et céréaliers, trouver des substituts moins agressifs. Il vous faudra peut-être passer plus de temps en cuisine.
      • Priorité 3 : augmenter les fruits progressivement car ils détoxifient
      • Priorité 4 : optimiser la quantité et la qualité des aliments en micro-nutriments (légumes lacto-fermentés, cuisson vapeur, augmentation des crudités, …)

Certaines stratégies pourront s’apparenter à des solutions durables mais ne sont en fait que des palliatifs temporaires qui, au bout d’un moment, dégradent le terrain plus qu’il ne l’entretien. Parmi ces choix , on retrouve par exemple :

      • Prendre des compléments alimentaires sur un ou certains minéraux ou vitamines. Cela peut aider si vos analyses vous montrent que vous manquez d’un élément essentiel. N’oubliez pas seulement que le bon fonctionnement de votre organisme est dû à un équilibre global avec des réactions complexes en jeu dont nous ne connaissons ni ne maîtrisons pas toujours. Pour approfondir, vous pouvez consulter cet article sur l’absorption des minéraux rédigé par l’enseignant-chercheur Marc Henry.
      • Changer brutalement de régime alimentaire. Même si l’apport d’un régime basé sur les fruits et les légumes paraît idéal, nous n’y sommes pas forcément habitué notamment du fait qu’il apporte bien plus de fibre. Nos systèmes enzymatiques, nerveux et métaboliques doivent s’adapter et cela ne peut pas se faire du jour au lendemain. Soyez progressif, surtout si la situation n’exige pas d’agir dans l’urgence.

Les stratégies efficaces, régénérantes et à effet rapide

Quelles que soient les recettes que vous souhaitez cuisiner, il est intéressant d’identifier les stratégies les plus efficaces et régénérantes pour l’organisme mais surtout que vous pouvez utiliser au quotidien. Ces stratégies ont généralement une action globale de façon à maintenir ou rétablir l’équilibre. En voici quelques-unes :

      • Ajouter des jus de légumes à l’extracteur : vous vous minéralisez de façon globale, vous aidez tout l’organisme à se détoxifier progressivement. Voici quelques compositions :

Régénérante globale : carottes, 1 moyenne betterave, 1 concombre
Nettoyage de la sphère intestinale : carottes, épinards, 1 moyenne betterave
Nettoyage de la sphère pulmonaire : carottes, céleri branche, 1 pomme

Vous pouvez également prendre des smoothies (plus nutritifs sur le papier) mais ces derniers nécessiteront bien plus d’énergie pour la digestion et une plus forte capacité à assimiler les nutriments, ce qui n’est pas toujours le cas lorsque l’on souffre d’une pathologie. Avec les jus de légumes (hors repas ou 20-30 min avant), vous assimilez très rapidement tout ce dont votre corps a besoin.

Note : vous pouvez respecter les principes hygiénistes en prenant votre jus à la petite cuillère, l’assimilation n’en sera que meilleure surtout si vous avez un système nerveux et/ou digestif affaibli

      • Ajouter des ingrédients à fort potentiel dans vos jus, smoothies ou vos repas :

Gingembre : stimule la digestion, anti-inflammatoire, …
Curcuma : un des plus puissants anti-inflammatoire, anti rhumatismal,…
Ail : pour nettoyer vos intestins (désinfecter) …
Huile de coco : pour nettoyer vos intestins (préserver la muqueuse intestinale)…
Graines germées : alfalfa (luzerne), lentilles (pour augmenter l’apport minéral) …

      • Ajouter du Quinton pour saler vos plats ou en boire : très minéralisant mais assez cher en pharmacie et en boutique bio, je vous conseille plutôt d’en commander sur le site Centre des Sciences Biologiques de la Santé ou encore biovie où le prix est intéressant avec une eau de bonne qualité et contrôlée. Prenez du Quinton hypertonique et diluez le si vous le buvez directement : pour un volume de Quinton, rajoutez deux volumes d’eau afin de ramener la solution à l’isotonie.

Les stratégies pour soutenir l’organisme

Ajouter des plantes sauvages et médicinales : elles représentent un soutien de fond très intéressant pour accompagner vos plats ou vos journées. Leur efficacité dépendra de la concentration et de la quantité consommée. Pour une efficacité thérapeutique, il faut au moins 30g de plantes séchées pour 1L d’eau. Quelques plantes intéressantes :

Détoxifiante : pissenlit, bardane, aubier de tilleul…
Reminéralisante: ortie, prêle, trèfle rouge …
Anti-dépressive : millepertuis, …
Anti-histaminique : plantain, ortie, …
Anti-douleur : reine des prés, …

L’idéal est de commander vos plantes chez une herboristerie où la qualité est généralement au rendez-vous du fait des cycles courts de gestion des stocks. Une référence, le site de l’herboristerie du Palais Royal située à Paris.

Pensez aussi aux teintures mères si vous n’avez pas le temps de préparer vos infusions. Ce mode présente aussi l’avantage d’être parfois plus efficace que la consommation d’infusion. Si vous souhaitez plus d’informations sur les plantes ou vous adresser à un spécialiste, je vous conseille le site Althea Provence de Christophe Bernard (herbaliste, thérapeute, enseignant, auteur).

Enfin, notez que pour les infusions aromatiques, il est préférable de ne pas chauffer l’eau au-delà des 85° afin d’éviter que les composants s’évaporent ou se dégradent trop à la chaleur. Si vous n’avez pas de thermomètre, patientez au moins 5-10 min après ébullition.

Prenez de bons compléments alimentaires dont l’action est de préférence globale et où la composition est de qualité c’est-à-dire sans ajout de sucre ni additif dangereux.

Système immunitaire : Vitamine D (augmente aussi l’aborption du calcium) , …
Vous en trouverez de bonnes qualités sur le site : D.Plantes Laboratoire

Tonifiante, énergisante, adaptogènes : Rodhiola rosea, Eleuthérocoque, Aswhagandha …
Le site Natura Mundi en a fait sa spécialité.

Réduction du stress : Magnésium, vitamines du groupe B, …
Bonnes boutiques : Lanutrition (la formule Stress mag est intéressante), Supersmart

Digestive / énergisante : triphala (amalaki, haritaki, bibhitaki)

Les stratégies puissantes et ponctuelles

Ces stratégies sont très efficaces mais sollicitent beaucoup plus l’organisme. Il faut donc prendre quelques précautions : s’informer ou consulter, tester sur le court terme, avancer progressivement. Parmi ces solutions, on retrouve :

      • Le jeûne thérapeutique : son action est souvent très efficace pour venir à bout de pathologies profondes ou de problèmes de poids. Il favorise surtout l’élimination des déchets et un retour à l’équilibre au niveau de chaque organe. Pour illustrer cette efficacité, on peut signaler par exemple un traitement dont on entend parler depuis peu de temps, le traitement métabolique du cancer.
        Une vidéo très pédagogique sur le jeune intermittent ci-dessous :

        Dans tous les cas, pensez à vous informer avant de commencer car le jeûne comprend des phases de détoxification qui peuvent être assez perturbantes et faire abandonner ce processus. Si vous souhaitez vous lancer, commencez par des jeûnes intermittents (en sautant un ou deux repas ou en ne prenant pas le petit déjeuner par exemple) et voyez comment vous vous sentez.
        Vous pouvez voir le film sur le jeune par le spécialiste Fabien Moine.
        Vous pouvez lire les livres suivants :
        Herbert Shelton :“Le jeûne”
        Bernard Clavière : “Et si on s’arrêtait un peu de manger de temps en temps”
        Thierry de Lestrade : “Le jeûne, une nouvelle thérapie”
      • La mono diète de fruits : Elle peut être agressive et nécessite donc de bien métaboliser les acides. De même que pour le jeûne thérapeutique, des crises de détox apparaîtront probablement du fait de l’élimination des toxines. Elles se manifesteront souvent par des atteintes cutanées (eczéma,…), de l’écoulement nasal, bronchites, etc. Si ces crises durent et se ressentent sur l’état général (fatigue, douleur, malaise, soif…), c’est l’acidose, vous métabolisez mal les acides, une autre stratégie s’impose alors.

Toutes ces stratégies ne sont que des indications, des pistes à explorer. Certaines vous conviendront, d’autres pas. Le plus important est d’apprendre à écouter votre corps, ses réactions, ses sensations car c’est cette écoute qui déterminera les meilleurs choix. Pensez aussi à bien vous informer sur celles-ci, certaines nécessiteront des mises en garde ou un temps d’apprentissage.

Complétez l’alimentation !

Manger bien ou avaler des compléments ne suffit pas, vous pouvez manger beaucoup de légumes et de fruits, ingérer des aliments très alcalins, décongestionnant, et être en déséquilibre acido-basique. En effet, l’alimentation ne représente qu’une part des causes qui peuvent accentuer l’acidité ou l’alcalinité. Pour maintenir un bon équilibre acido-basique, il est indispensable d’agir et de penser de manière globale, en prenant notamment en considération son travail, ses relations, son exposition au soleil et son activité physique.

Prenons le cas de l’activité physique : une part majoritaire des acidités est évacuée par la respiration. Pour soutenir cet émonctoire, vous pouvez marcher 1h par jour, faire des exercices de gainage pour renforcer la posture et faciliter une respiration plus stable. Si votre système nerveux le permet, vous pouvez faire des exercices courts et intenses qui augmenteront votre métabolisme (hiit, tabata, entraînements en fractionné, etc.). N’oubliez pas que notre consommation en calorie dépend bien plus de notre niveau métabolique que n’importe quelle activité physique  faible ou modérée.

Certaines techniques de respiration sont extrêmement efficaces pour remonter la vitalité de l’organisme, favoriser son alcalinité tout en diminuant significativement le stress. Je vous conseille par exemple de tester d’appliquer la technique Wim Hof tous les matins à jeun. Si vous souhaitez suivre une formation sur ce type de technique de respiration, vous en trouverez une ici avec toutes les explications physiologiques.

Quelques liens qui vous seront utiles :

Pour finir, n’hésitez pas à me signaler toute information ou erreur que vous jugerez utile à la compréhension ou clarification de cette page et des notions abordées.

 

Dernière mise à jour le 7 octobre 2019 : nouvelle boutique pour le quinton, ajout du triphala, ajout d’infos sur les techniques de respiration, précision hygiéniste sur les jus, ajout d’un lien vers un film sur le jeune thérapeutique, mises à jour de liens, …

21 réponses sur “Régime Alcalin : Principes Alimentaires”

  1. MOURGUES dit :

    Bonjour,
    Ce que je viens de lire est absolument véridique et repose sur des faits avérés puisque cela corrobore avec ce que j’ai déjà lu et écouter concernant les études scientifiques en la matière.
    Je viens de découvrir ce site mais je peux d’ores et déjà dire que ce que je viens de lire m’intéresse au plus haut point et c’est en plus, extrêmement bien écrit et limpide.
    BRAVO

  2. Menanteau dit :

    Bonjour,
    C’est dingue, car apres plusieurs années d’etudes, j’ai décidé de me mettre a mon compte et de livrer des plats alcalins et des jus de fruits et de legumes. Je me retrouve completement dans ce que vous ecrivez. j ai d’ailleurs depuis quelques mois décider de livrer des repas alcalins ainsi que des jus, et d’en faire mon activité professionnelle. Merci beaucoup pour votre site, il m’inspire tres souvent dans les repas que je propose…..

  3. la lanterne dit :

    merci bcp c’est tres bien écrit et on trouve de tres bonnes informations , il est très rare que je laisse un commentaire mais la qualite de votre site m’a forcée à m’exprimer ! Je consulte bcp de sites sur le sujet mais le votre est tout simplement remarquable.

    • Muriel dit :

      Merci pour vos aimables remarques. N’hésitez pas à poser des questions ou apporter votre contribution en informations nouvelles. Bonne cuisine alcaline !

  4. Salaya dit :

    Merci pour cet article si bien rédigé. Actuellement je suis les conseil de ma mère en ajoutant des jus de fruit et légumes à mon quotidien et cette première lecture m’a déjà beaucoup clarifié sur le chemin à suivre. Je continuerai à lire votre blog mais aussi les liens qui vous proposez.

    Cordialement,

    Nicolas

  5. lili dit :

    Bonjour,
    Je passe ici pour approfondir mes recherches concernant le régime alcalin. Je ne suis pas enthousiasmée par votre page, contrairement à ceux qui semblent avoir laissé des commentaires plus haut. Le 1er me laisse d’ailleurs sceptique.
    Et pour faire suite aux commentaires, pardon mais non, ce n’est pas si bien écrit qu’on le dit…
    “c’est le déclenchement d’une pathologie entraînant multitudes de symptômes chroniques DONT on n’associe que trop rarement à cette question d’excès d’acidité” Est un exemple, et il y en a partout dans l’article!
    Je suppose que ces personnes viennent de parcourir des site bourrés de publicités, mal traduits et dont l’unique but est de favoriser le flux internet… Forcément en comparaison, oui c’est vrai que c’est mieux!
    Pour ce qui est des arguments en lien avec des études, “Ces connaissances sont apportées par les nombreuses études scientifiques les plus récentes et aussi par les nombreux retours d’expérience de soigneurs et de malades ayant su aller au-delà des symptômes et des pathologies” ne me convainc pas! On les appelle fallacieux. Votre travail mériterait de vrais appuis.

    Pour le reste, je suis agréablement surprise par les références, de boutiques.
    Le lien “présentation pdf “Équilibre Acido-Basique” du professeur Levy de l’université de Grenoble” ne fonctionne pas (avec mon pc en tout cas) pour info.
    Et la manière dont est amené le sujet est intéressant.
    Malgré mes commentaires acides (pour le jeu de mot, donc) j’ai bien tout lu et vous remercie pour votre article. Je suis convaincue qu’il serait plus pêchu enrichi de références et arguments plus sérieux.
    Merci beaucoup pour votre travail

    • Muriel dit :

      Bonjour,

      Je vous remercie pour votre retour, vos critiques m’apparaissent pertinentes, je vous rejoins sur le fait que certaines phrases donnent un aperçu trop général sans justification scientifique ou qui mériteraient d’être plus nuancées. Mon intention initiale était de rester assez généraliste sur le sujet et de permettre au lecteur d’avoir une vision la plus globale possible sur la santé autour de l’alimentation. Je souhaite amener les visiteurs à consommer davantage de légumes et de fruits ou bien à investiguer sur les différents thèmes “alternatifs” évoqués dans l’article.

      Je comprends votre frustration, vous aimeriez si j’entends bien vos propos, disposer de ressources complémentaires vous permettant de comprendre plus précisément les processus corporels en jeu et le lien qu’ils peuvent avoir avec la santé et l’alimentation. Je note ce point pour les prochaines évolutions de la page et du site.

      A ce propos, j’ai corrigé le lien pdf du professeur Levy, que je vous remets ici : pdf sur acide base
      J’ai par ailleurs apporté une correction sur la partie que vous évoquez (le pH et les symptômes associés) en prenant appui sur l’étude suivante

      Pour aller plus loin, j’ai rajouté une référence au Dr/régime Kousmine qui semble être la première à avoir introduit l’équilibre acido basique dans l’alimentation.

      J’ai bien conscience que malgré ces dernières références, cela ne soit pas suffisant à satisfaire votre curiosité ou vos interrogations. N’hésitez pas à me préciser les points que vous aimeriez que je détaille ou corrige.

      Merci pour votre contribution à rendre le site de meilleure qualité,
      Bonnes recherches ;)

  6. Francis dit :

    Excellente synthèse ! Merci !

    Je connais plusieurs personnes qui ont nettement amélioré leur condition due à une maladie auto-immune en adoptant un régime alcalin…

  7. Là, je suis contente d’avoir lu ces informations, certains aliments que je consume sont ok, d’autres j’ élimine au fur et à mesure et ainsi je pourrai faire ce régime presque parfaitement sans contrainte.

  8. […] du sang : ils équilibrent le ph du sang face aux aliments qui l’acidifient. De fait, le régime alcalin et le régime détox ont beaucoup en commun, puisque dans les deux cas, on favorise les […]

  9. tlax38 dit :

    Bonjour,
    Il est scientifiquement reconnu (https://www.aicr.org/patients-survivors/healthy-or-harmful/alkaline-diets.html) que le corps régule de lui-même son taux d’acidité, donc suivre un régime alcalin n’a d’autre utilité que d’enrichir certains gourous de la nutrition.
    Cordialement.

    • Muriel dit :

      Bonjour,

      Oui, c’est bien ce qui est mis en évidence à travers cette page. Le corps régule (et sans effet secondaire) à partir du moment où il dispose des ressources suffisantes. Le terme “régime alcalin” est simplement un pointeur vers les catégories d’aliments qui fournissent ces ressources et votre lien souligne exactement ce qui est préconisé ici. L’indice PRAL n’est pas une référence absolue (on peut le critiquer sous bien des aspects) mais il peut aider à s’orienter vers des aliments plus intéressants que d’autres pour optimiser ses réserves minérales.

      • Laurence dit :

        – Suivre un régime (plutot rééquilibrage) alcalin n’enrichit pas forcément les gourous puisque vous trouvez cela sur ce site gratuitement.
        A chacun de s’informer à sa guise sur internet ou auprès des “gourous” ou des professionnels.
        – Le corps cherche effectivement à réguler en permanence tant qu’il en a les ressources.
        Mais le danger est qu’il s’épuise au bout d’un certain temps et ne puisse plus réguler.
        Exemple avec l’insuline secrétée après l’ingestion de glucides : Si on en consomme trop et trop souvent, le corps s’épuise au bout de nombreuses années, une résistance à l’insuline s’instaure, le prédiabète pointe son nez puis le diabète de type 2 si rien n’est corrigé.
        Et alors, c’est la porte ouverte à l’obésité (régulation du poids plus difficile pour les diabétiques), cancer… car tout se dérègle en chaine. Voir de nombreuses études que vous trouverez sur internet et sur le site Lanutrition.fr
        – Mais que c’est difficile dans notre société addict au sucre, acidifiant. Après le combat contre les graisses d’il y a 30 ans, la société s’est reportée sur le sucre, très plaisant au gout.

        Si on pouvait ainsi faire de la prévention au lieu d’intervenir trop tard quand la maladie est déjà la.
        Nous ne sommes qu’une usine chimique : le moteur (son bon fonctionnement et sa durée de vie) dépend de l’essence qu’on met dedans !

        Encore MERCI pour votre site qui permet d’enrichir et croiser mes informations.

    • Hubert dit :

      Si c’etait le cas, personne ne souffrirait de remonté acide ou d’ulcere. Nous ne sommes pas tous égaux et je parle par expérience. Certains corps dont le mien sont extrêmement chargés d’acide. Évidemment, la nourriture y est pour beaucoup, mais la génétique aussi.

  10. Jean-Michel dit :

    Bonjour,
    D’après toutes les listes d’aliments acido-basiques consultées, le jaune d’oeuf serait clairement alcalin. L’indice PRAL me semble complètement faux et incompréhensible à cet égard.
    Autre incohérence, semble-t’il, de l’indice PRAL : celui-ci donne un indice -2.3 pour le café expresso (donc alcalin), alors que le café est généralement considéré comme TRES acidifiant. Où est la vérité ?
    Merci pour vos éclaircissements.

    • Muriel dit :

      Bonjour Jean-Michel,

      Tout d’abord, il faut relativiser l’importance de l’indice PRAL car c’est un indicateur théorique qui serait potentiellement proche de la réalité si nous avions une machine identique en tout temps. Il ne tient pas compte des particularités de chacun.

      Le jaune d’oeuf est acide selon certains, alcalin selon d’autres, il ne semble pas y avoir de consensus donc dans le doute on peut toujours l’accompagner de légumes/salades. Le fait qu’un aliment soit acidifiant n’est pas problématique en soi à partir du moment où les minéraux alcalins sont apportés avec le reste du repas.

      Pour le café, la graine a été torréfiée donc littéralement carbonisée. L’eau du café est très acide mais cela ne justifie pas que celui-ci soit acidifiant pour l’organisme (un aliment acide en bouche n’est pas forcément acidifiant pour l’organisme, cela n’a pas de rapport direct). Par contre, le processus de torréfaction détruit et modifie certains éléments de la graine et crée de nouvelles molécules (réaction de Maillard). Ce processus va complexifier, pour l’organisme, la métabolisation des éléments du café : il va entraîner la création de déchets qui eux-même vont acidifier l’organisme.

      J’entends bien la difficulté à identifier si un aliment est alcalin ou acidifiant, l’indice PRAL nous donne seulement de grandes orientations, des catégories d’aliments à considérer comme alcalin ou acidifiant. Etant donné qu’il restera toujours un doute sur certains aliments, je pense qu’on peut considérer quelques bonnes pratiques qui préviendront les effets moyens/longs termes non maîtrisés. Par exemple, on peut se poser les questions suivantes :

      – Prenons-nous systématiquement et en quantité des aliments alcalins au cours d’un repas (légumes, salade) ?
      => à défaut d’avoir des repas peu équilibrés, l’alcalinité peut être favorisée à travers des exercices de respiration

      – Dans quel état est notre organisme (avec inflammations localisées ?)
      => si on est déjà en acidose, il conviendrait d’en limiter la consommation

      – Quel effet l’aliment a-t-il sur notre organisme ?
      => si l’effet est positif, il conviendrait d’en limiter la consommation pour éviter tout effet moyen/long terme : Si par exemple, le café vous permet de vous maintenir un niveau d’énergie ou un transit régulier, le mieux serait de regarder le problème à la source, pas de s’en servir comme béquille tous les jours.
      => si l’effet est négatif, peut-être faut-il envisager d’en perdre l’habitude et de le remplacer temporairement par un substitut. On peut remplacer le café par le thé par exemple…

      Globalement, étant donné l’état actuel des connaissances, la meilleure des préventions n’est-elle pas de faire dans la diversification en s’orientant essentiellement vers une consommation de “bons aliments”, d’aliments alcalins et qui nous font du bien (sans privation des petits plaisirs) ?

      • BALTEAU Jean-Michel dit :

        Merci Muriel (avec un grand retard de ma part) pour votre argumentaire très bien équilibré. Il m’inspire. J’ai été fort intéressé par vos commentaires sur le café, je jaune d’œuf, et les bonnes pratiques sur la consommation alimentaire . Bien cordialement.

  11. Hubert dit :

    Je sais si les aliments me conviennent en examinant chaque matin et à jeûn ma langue dans un miroir. Si elle est rose ok, si elle est blanche et pateuse…attention!
    C’est comme cela que j’ai pu distinguer les bons des mauvais aliments pour moi. Je dis souvent que mon corps me parle et c’est vrai!
    Mon corps tolère très bien les légumes verts et les poissons par exemple, mais très mal les aliments raffinés et artificiellement sucrés, ainsi que tout laitage.
    Le problème c’est que la liste des produits alcalins est beaucoup moins importantes que celle des acides.
    L’application de ce régime réduit drastiquement les sources nutritionnelles nécessaires au corps et les carences peuvent vites survenir (dents qui se dechaussent par exemple). Notre corps nous fait vite ressentir les manques et souvent cela se traduit par des écarts alimentaires contre productifs qui peuvent vite nous faire abandonner, voir déprimer. Les fruits sont bons, mais attention à l’excès de sucre, si pris en grande quantité. Attention aussi à l’acidité des agrumes. Tout cela est loin d’être évident et j’ai découvert tout cela à la dure. J’ai peut être la chance ou la malchance d’avoir un corps hypersensible depuis ma naissance. Ahhh!… sacré karma!
    De plus, les compléments coûtent chers et ce régime demande un changement dans nos habitudes de vie loin d’être évident, même s’il s’agit de notre santé.
    Le jeûn, d’après moi, reste le meilleur moyen de rééquilibrage. Mais pour éviter les troubes des trois premiers jours (nausées, migraines, etc) je conseille vivement le nettoyage préalable du côlon avec du sel et de l’eau tiède comme enseigné dans le yoga:
    https://vidya.bio/nettoyage-simple-du-colon-technique-courte/
    Ce nettoyage colonique peut aussi s’effectuer indépendamment, un fois tous les 3 mois.
    Je le trouve bien plus efficace que le lavement intestinal avec le bock.

    • BALTEAU Jean-Michel dit :

      Merci Hubert, pour vos commentaires. Je m’y suis bien retrouvé. dans ma réaction physiologique à plusieurs de ces aliments. Ainsi, un allergologue a défini une toux persistante, il y a 4 ans, comme une allergie au pain industriel (et aux acariens aussi…)
      Le test de la couleur de la langue est très vrai. Bien cordialement.

  12. BALTEAU Jean-Michel dit :

    Bonjour,
    Je suis actuellement un régime naturopathique pour rétablir mon équilibre acido-basique qui serait fort acidifié. Par ailleurs, je souffre d’arthrose lombaire (douleurs sourdes) et de rhumatisme aigu dans le haut des bras. Je cherche un anti-inflammatoire complètement NATUREL. J’ai entendu dire que le curcuma était un puissant anti-inflammatoire… Mais, je suppose qu’il ne s’agit pas de poudre de curcuma mélangée à du poivre noir… Quelle forme de curcuma est-elle vraiment un anti-inflammatoire efficace ?
    Merci beaucoup pour vos conseils.

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